Troisième édition :

 

le village, les grottes & l'école

Ce qui passionne Tara Benveniste, ce sont les histoires. Celles qu'on lit d’un seul souffle ou qu’on se raconte tard dans la nuit. Celles qui tuent le temps ou changent une vie. Alors elle en raconte elle-même, depuis des années, sous de multiples formes. D’abord en tant que journaliste pour divers webzines, puis dans une émission de radio sur Radio Néo et sur ses propres blogs, avant de le faire pour la communication de la galerie Perrotin. Depuis, elle officie au Centre Pompidou en tant que responsable des réseaux sociaux et écrit, en parallèle, des textes pour des artistes du Cercle de l’Art.

À l’occasion de l'édition 3 de Massa Stories, elle s’essaie au reportage audio et part à la rencontre des habitant·es de Sidi R’bat avec son micro. Elle réalise alors un podcast retraçant l’édition 2022 du village.

Margaux Derhy est née en France d'une mère française et d'un père marocain avant de s'établir à Londres, où elle a étudié à Central Saint Martins (CSM) puis a suivi le MA Painting du Royal College of Art (RCA). Elle vit et travaille actuellement entre Paris et Massa.

Elle a participé à plusieurs résidences dont Al Maqam au Maroc (2021), Enamoura en France (2020), Studio Kura à Fukuoka au Japon (2018) ou Greatmore Studios à Cape Town en Afrique du Sud (2017).

En 2018, elle a publié la première édition du livre Le Backpack de l'Artiste, a fondé Massa Stories en 2019 et le collectif d'artistes femmes Le Cercle de l'Art en 2020.

Caroline Derveaux est une artiste française qui joue entre peinture, design, direction artistique et scénographie.

Utilisant toujours une palette très colorée, Caroline privilégie les formes architecturales géométriques et s'aventure sur des perspectives oniriques. Son royaume est le reflet de son imaginaire et de ses souvenirs d'enfance.

Caroline a obtenu une maîtrise en beaux-arts au Chelsea College of Art and Design, Université des arts en 2014.

Ayant vécu partout dans le monde, notamment à Londres, Barcelone, Nanjing et Mexico, elle est désormais basée à Saint-Ouen, en France.

b. 1989, Rueil Malmaison

Pauline Rousseau est née en 1989, après des études de littérature (hypokhâgne) elle intègre l’Ecole du Louvre dont elle sort diplômée en 2012. Elle obtient le diplôme de master II de l'Ecole Nationale Supérieure de la Photographie en 2016.

Depuis 2016, elle a participé à de nombreuses résidences : à Saint-Tropez avec la DRAC PACA, en Martinique avec les Ateliers Médicis dans le cadre de la résidence Création en cours, à l’hôpital Georges Pompidou à Paris avec l’INSERM lors de la résidence La Recherche pour l’Art, à Zinder au Niger à l’invitation du CNRS et de l’ambassade de France au Niger, et au musée des Beaux-Arts de Draguignan.

Son travail a été présenté entre autres, aux Rencontres Internationales de la Photographie à Arles, à la galerie Agnès B à Paris, à la Fondation Yvon Lambert à Avignon, à l’Alliance Française de Singapour, au Centre culturel Franco-Nigérien de Niamey, au Musée des Beaux-Arts de Draguignan, à Tropiques Atrium en Martinique et au Palais de Tokyo.

Margaux Derhy est née en France d'une mère française et d'un père marocain avant de s'établir à Londres, où elle a étudié à Central Saint Martins (CSM) puis a suivi le MA Painting du Royal College of Art (RCA).

Elle vit et travaille actuellement entre Paris et Massa.

À l'aide de peintures, de dessins, de sculptures, de projets de collaboratifs avec des artisans (pour le verre soufflé et la broderie) et récemment de vidéos, elle crée des œuvres qu'elle perçoit comme des doux remèdes aux traumatismes de l’amour liés à l’absence et la perte.

Elle a participé à plusieurs résidences dont Enamoura en France (2021), Studio Kura à Fukuoka au Japon (2018) ou Greatmore Studios à Cape Town en Afrique du Sud (2017) avant de fonder la résidence d’artistes Massa Stories en 2019.

Elle est diplômée de l'Ecole des Arts Décoratifs de Strasbourg, en France en 2012. Puis, elle a obtenu un Master au Royal College of Art de Londres en 2014. C'est là qu'elle a également a découvert la lithographie sur pierre, et est allé suivre la formation professionnelle de lithographie au Tamarind Institute pendant un an, Albuquerque New Mexico.

Ces dernières années, son travail est passé de la mise en scène de figures et d'ombres en interaction à un regard plus abstrait sur les corps internes et les formes organiques.

Combinant l'influence des sources scientifiques et encyclopédiques avec son propre dessin d'observation et poétique, elle recherche les frontières floues entre les faits et l'imagination. En cela, elle trouve la liberté de créer des images visibles et vitales sans l'obstruction de la réalité ou de l'exactitude.

Née en 1981. Vit et travaille entre Paris et Jegun, France. Artiste pluridisciplinaire, Carla Talopp, trouve dans la nature l’expression de sa force créatrice. Ses toiles, aux formats monumentaux et nourries de l’attention profonde qu’elle porte au vivant, apparaissent comme les métaphores d’une vitalité intérieure qui ne cesse de se mouvoir et de se renouveler.

Dévouant l’entièreté de son être — tant physique qu’ émotionnel — au processus créateur, les œuvres de Carla Talopp sont une invitation à plonger dans un univers onirique vertigineux, où rêve et réalité s’entremêlent.

Son travail a fait l’objet de diverses expositions personnelles au sein d’institutions publiques en France et à l’étranger, comme la China Academy of Art (Chine) et l’Ambassade de France (Washington, Etats-Unis). Elle participe fréquemment à des expositions personnelles et collectives au sein de différentes galeries, telles que la Joanne Artman Gallery (New York/ Laguna Beach, États-Unis), la Galerie Larock- Granoff (Paris, France), la Galerie Baudoin Lebon (Paris, France), la Galerie Planète Rouge (Paris, France), ou encore le Musée de la Poste (Paris, France).

Virginie Rasmont est une artiste française basée à Paris, spécialisée dans le collage sur papier.

Profondément amoureuse des couleurs, une passion transmise par son oncle et sa mère tous deux peintres, elle commence à créer avec un objectif thérapeutique car l’art apaise certaines émotions et en (r)éveille d’autres. Elle décide ensuite de partager son travail pour inspirer et enrichir l’âme et le cœur des gens qui l’entourent.

Scientifique de formation, Virginie a toujours aimé disséquer, déconstruire et analyser les situations au microscope. Mais elle ne s’arrête pas à une simple fragmentation des choses. Elle s’empare également de son télescope pour prendre du recul sur son existence et nous invite à faire de même. Elle recompose des scènes, des portraits, des situations de nos vies. Elle joue avec les couleurs comme langage des émotions. Pour elle, “la couleur n’a pas de sens pour l’intelligence mais a tout pouvoir sur la sensibilité” (Delacroix).

Nelly Zagury est diplômée de la HEAR (Haute Ecole des Arts du Rhin) de Strasbourg et de la HEAD (Haute Ecole d'art et de design) de Genève. Après avoir travaillé à Paris pour la maison de haute couture On aura tout vu et dessiné des bijoux pour des marques comme Chanel et Boucheron, elle s’installe à New York pour concevoir les costumes du film opéra River of Fundament de Matthew Barney.

Depuis 2020, Nelly vit et travaille à Paris. Plongeant dans ses racines marocaines, elle prolonge sa quête de réenchantement pour proposer une expérience nouvelle de la féminité, qui dépasse les représentations exotiques et orientalistes.

Son travail a été présenté dans : The New York Times Style Magazine, Art Observed, The Fader, I-D, Entrepreneur, Madame Le Figaro, Les Inrockuptibles. Parmi les expositions sélectionnées figurent Holding Space, Big Pictures, Los Angeles (2019), Every Woman Biennial Los Angeles (2019), The Black Crook Grand Premiere, The Chimney, NYC (2016), Dans la ligne de mire, scènes du bijou contemporain, Musée des Arts Décoratifs, Paris (2014).

Née en 1988 à Neuilly, Margaux Desombre mêle différentes pratiques et en particulier la peinture à l’huile, son médium de prédilection.

Architecte de formation, elle navigue dans les champs de la représentation de l’espace sous différentes formes.

Actuellement en résidence à Poush Aubervilliers, elle poursuit ses travaux de peinture tout en développant des recherches sur l’espace habitable et la direction artistiques des lieux de vie.

Ses œuvres sont ancrées dans une figuration qui frôle l’abstraction, oscillant entre représentations architecturales et paysages oniriques.